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Humeur
L'argument sceptique :
Les régions urbaines et rurales montrent la même tendance au réchauffement.
L'effet d'îlot de chaleur (ICU) est un phénomène par lequel la concentration des structures et de la chaleur des déchets de l'activité humaine (notamment les climatiseurs et les moteurs à combustion interne) se traduit par une enveloppe légèrement plus chaud de l'air sur les zones urbanisées par rapport aux zones rurales environnantes. Il a été suggéré que UHI a considérablement influencé les records de température au cours du 20e siècle, avec la croissance rapide de l'environnement urbain.
Les scientifiques ont été très attentifs à ce que UHI n'influence pas les tendances de la température. Pour résoudre ce problème, ils ont comparé les données des stations éloignées (des sites qui sont loin d'être l'activité humaine) vers des sites plus urbains. De même, les enquêteurs se sont également penchés sur les sites dans les régions rurales et urbaines en Chine, qui a connu une croissance rapide de l'urbanisation au cours des 30 dernières années et il est donc très probable pour montrer l'ICU. La différence entre les sites ruraux idéaux par rapport aux sites urbains dans les tendances de la température a été très faible:
Figure 1. Anomalies de températures moyennes annuelles. Jones et al (pointillé vert et brun) montre un ensemble de données de 42 sites urbains et 42 ruraux. Li et al (solide vert et brun) montre un ensemble de données ajusté de 42 sites urbains et 40 ruraux . Li (bleu) est un ensemble non ajusté de 728 stations, urbain et rural. CRUTEM3v (rouge) est un ensemble de données terrestre seulement (Brohan et al., 2006). Cette parcelle utilise la période de base 1954-1983.
Une autre façon de découvrir l'ICU serait de regarder où la majorité du réchauffement a eu lieu à travers le monde. L'ICU doit correspondre où la ou la plupart des gens vivent. Toutefois, si vous regardez l'anomalie de la température mondiale de 2006 (figure 2)., Vous constaterez que la plus grande différence de température pour les moyennes à long terme est à travers la Russie, l'Alaska, loin au nord du Canada et au Groenland et non là où l'urbanisation majeure s'est produite.
L'effet de chaleur urbain n'a pas d'influence significative sur le dossier sur l'évolution de la température mondiale.
Intermédiaire
Bien que les zones urbaines sont sans doute plus chaudes que les zones rurales, cela a eu peu ou pas d'impact sur la tendance au réchauffement.
Lors de la compilation des records de température, la NASA GISS se donnent beaucoup de mal pour éliminer toute influence possible des effet d'îlot de chaleur. Ils comparent les tendances à long terme aux tendances urbaines rurales avoisinantes. Ils ont ensuite ajuster la tendance urbaine afin qu'elles correspondent à la tendance rural. Le processus est décrit en détail sur le site de la NASA (Hansen, 2001).
Ils ont trouvé dans la plupart des cas, le réchauffement urbain était petit et est tombé dans les fourchettes d'incertitude.
Cela confirme une étude de revue par les pairs par le NCDC (Peterson 2003) qui a fait l'analyse statistique des anomalies de températures urbaines et rurales et a conclu «Contrairement aux idées généralement admises, aucun effet statistiquement significatif de l'urbanisation pourrait être trouvée dans les températures annuelles ... les sections industrielles des villes pourraient bien être beaucoup plus chaud que les sites ruraux, mais les observations météorologiques urbaines sont plus susceptibles d'être réalisées dans le parc d'îlots de fraîcheur que les régions industrielles ".
Une autre étude plus récente (Parker 2006) à tracée 50 dossiers par an de températures observées sur les nuits calmes, et l'autre sur les nuits venteuses. Il a conclu que «les températures sur la terre ont augmenté autant les nuits de vent que les nuits calmes, indiquant que le réchauffement global observé n'est pas une conséquence du développement urbain».
En comparant rural aux tendances urbaines
Les effets de l'urbanisation dans les enregistrements de température à grande échelle ont été étudiés, en mettant l'accent sur la Chine (Jones et al 2008) constate que l'évolution des températures urbaines est peu différente de tendances rurales. Le document commence par regarder 5 sites dans et autour de Londres. La figure 1 montre les températures absolues, en indiquant clairement une influence UHI sur les sites urbains à Londres Météo Centre (marron) et St. James Park (bleu foncé). L'enregistrement le plus froid est la base rural (vert foncé) Rothamsted. Cependant, la chaleur urbaine excèssive n'a aucun effet sur la tendance des températures - tous les sites montrent la même tendance générale.
Une comparaison similaire a été faite entre les deux sites à Vienne. Encore une fois, la température absolue est plus grande pour le site urbain, mais les deux sites montrent des tendances identiques.
En comparant les réseaux ruraux et urbains en Chine
Les zones urbaines ainsi établies montrent les mêmes tendances que les zones rurales environnantes. Qu'en est-il des zones urbaines qui sont encore en développement? La Chine, contrairement à l'Europe, a connu une croissance économique rapide au cours des 30 dernières années avec une augmentation spectaculaire de ses zones de ville. S'il y avait un réchauffement urbain lié importante, il devrait être visible dans cette région et au cours des dernières décennies. La figure 3 compare une gamme d'ensembles de données de température:
Qu'il n'y a guère de différences entre la série de six nous dit plusieurs choses. Les petits jeux de données de 40 stations montrent le même résultat que la station-728 données. En d'autres termes, pour une région de cette taille, la moyenne peut être construite à partir d'un nombre limité de sites, ce qui implique que le réseau de stations-728, il ya redondance considérable.
Comme l'échelle augmente, l'impact global des ajustements d'homogénéité diminue. C'est peut-être un peu navrant pour les boffins qui travaillent dur qui passent des centaines d'heures de coulée méticuleusement sur les données de la station, assurant que les données sont tout homogénéisé (mais bien sûr, ils ne le font pas seulement pour calculer les tendances mondiales).
Et bien sûr, le résultat le plus important: la tendance est la même pour les deux groupes urbains et ruraux sur l'une des périodes. Même dans le cas du développement des zones urbaines, où en moyenne sur une vaste zone, l'îlot de chaleur urbain a peu d'impact sur la tendance au réchauffement.
http://www.skepticalscience.com/urban-heat-island-effect-intermediate.htm
BasiqueC'est l'effet des îlots de chaleur urbains.
Un article de Ross McKitrick, professeur d'économie à l'Université de Guelph, et Patrick Michaels, un professeur d'études environnementales à l'Université de Virginie, conclut que la moitié de la tendance au réchauffement global 1980-2002 est causée par l'Urban Heat Island. (McKitrick & Michaels)
Les régions urbaines et rurales montrent la même tendance au réchauffement.
L'effet d'îlot de chaleur (ICU) est un phénomène par lequel la concentration des structures et de la chaleur des déchets de l'activité humaine (notamment les climatiseurs et les moteurs à combustion interne) se traduit par une enveloppe légèrement plus chaud de l'air sur les zones urbanisées par rapport aux zones rurales environnantes. Il a été suggéré que UHI a considérablement influencé les records de température au cours du 20e siècle, avec la croissance rapide de l'environnement urbain.
Les scientifiques ont été très attentifs à ce que UHI n'influence pas les tendances de la température. Pour résoudre ce problème, ils ont comparé les données des stations éloignées (des sites qui sont loin d'être l'activité humaine) vers des sites plus urbains. De même, les enquêteurs se sont également penchés sur les sites dans les régions rurales et urbaines en Chine, qui a connu une croissance rapide de l'urbanisation au cours des 30 dernières années et il est donc très probable pour montrer l'ICU. La différence entre les sites ruraux idéaux par rapport aux sites urbains dans les tendances de la température a été très faible:
Figure 1. Anomalies de températures moyennes annuelles. Jones et al (pointillé vert et brun) montre un ensemble de données de 42 sites urbains et 42 ruraux. Li et al (solide vert et brun) montre un ensemble de données ajusté de 42 sites urbains et 40 ruraux . Li (bleu) est un ensemble non ajusté de 728 stations, urbain et rural. CRUTEM3v (rouge) est un ensemble de données terrestre seulement (Brohan et al., 2006). Cette parcelle utilise la période de base 1954-1983.
Une autre façon de découvrir l'ICU serait de regarder où la majorité du réchauffement a eu lieu à travers le monde. L'ICU doit correspondre où la ou la plupart des gens vivent. Toutefois, si vous regardez l'anomalie de la température mondiale de 2006 (figure 2)., Vous constaterez que la plus grande différence de température pour les moyennes à long terme est à travers la Russie, l'Alaska, loin au nord du Canada et au Groenland et non là où l'urbanisation majeure s'est produite.
L'effet de chaleur urbain n'a pas d'influence significative sur le dossier sur l'évolution de la température mondiale.
Intermédiaire
Bien que les zones urbaines sont sans doute plus chaudes que les zones rurales, cela a eu peu ou pas d'impact sur la tendance au réchauffement.
Lors de la compilation des records de température, la NASA GISS se donnent beaucoup de mal pour éliminer toute influence possible des effet d'îlot de chaleur. Ils comparent les tendances à long terme aux tendances urbaines rurales avoisinantes. Ils ont ensuite ajuster la tendance urbaine afin qu'elles correspondent à la tendance rural. Le processus est décrit en détail sur le site de la NASA (Hansen, 2001).
Ils ont trouvé dans la plupart des cas, le réchauffement urbain était petit et est tombé dans les fourchettes d'incertitude.
Cela confirme une étude de revue par les pairs par le NCDC (Peterson 2003) qui a fait l'analyse statistique des anomalies de températures urbaines et rurales et a conclu «Contrairement aux idées généralement admises, aucun effet statistiquement significatif de l'urbanisation pourrait être trouvée dans les températures annuelles ... les sections industrielles des villes pourraient bien être beaucoup plus chaud que les sites ruraux, mais les observations météorologiques urbaines sont plus susceptibles d'être réalisées dans le parc d'îlots de fraîcheur que les régions industrielles ".
Une autre étude plus récente (Parker 2006) à tracée 50 dossiers par an de températures observées sur les nuits calmes, et l'autre sur les nuits venteuses. Il a conclu que «les températures sur la terre ont augmenté autant les nuits de vent que les nuits calmes, indiquant que le réchauffement global observé n'est pas une conséquence du développement urbain».
En comparant rural aux tendances urbaines
Les effets de l'urbanisation dans les enregistrements de température à grande échelle ont été étudiés, en mettant l'accent sur la Chine (Jones et al 2008) constate que l'évolution des températures urbaines est peu différente de tendances rurales. Le document commence par regarder 5 sites dans et autour de Londres. La figure 1 montre les températures absolues, en indiquant clairement une influence UHI sur les sites urbains à Londres Météo Centre (marron) et St. James Park (bleu foncé). L'enregistrement le plus froid est la base rural (vert foncé) Rothamsted. Cependant, la chaleur urbaine excèssive n'a aucun effet sur la tendance des températures - tous les sites montrent la même tendance générale.
Une comparaison similaire a été faite entre les deux sites à Vienne. Encore une fois, la température absolue est plus grande pour le site urbain, mais les deux sites montrent des tendances identiques.
En comparant les réseaux ruraux et urbains en Chine
Les zones urbaines ainsi établies montrent les mêmes tendances que les zones rurales environnantes. Qu'en est-il des zones urbaines qui sont encore en développement? La Chine, contrairement à l'Europe, a connu une croissance économique rapide au cours des 30 dernières années avec une augmentation spectaculaire de ses zones de ville. S'il y avait un réchauffement urbain lié importante, il devrait être visible dans cette région et au cours des dernières décennies. La figure 3 compare une gamme d'ensembles de données de température:
Qu'il n'y a guère de différences entre la série de six nous dit plusieurs choses. Les petits jeux de données de 40 stations montrent le même résultat que la station-728 données. En d'autres termes, pour une région de cette taille, la moyenne peut être construite à partir d'un nombre limité de sites, ce qui implique que le réseau de stations-728, il ya redondance considérable.
Comme l'échelle augmente, l'impact global des ajustements d'homogénéité diminue. C'est peut-être un peu navrant pour les boffins qui travaillent dur qui passent des centaines d'heures de coulée méticuleusement sur les données de la station, assurant que les données sont tout homogénéisé (mais bien sûr, ils ne le font pas seulement pour calculer les tendances mondiales).
Et bien sûr, le résultat le plus important: la tendance est la même pour les deux groupes urbains et ruraux sur l'une des périodes. Même dans le cas du développement des zones urbaines, où en moyenne sur une vaste zone, l'îlot de chaleur urbain a peu d'impact sur la tendance au réchauffement.
http://www.skepticalscience.com/urban-heat-island-effect-intermediate.htm