On m'avait demandé qu'est ce qu'était les modes normaux dont parlait Gwendal Rivière dans ses études sur la cyclogenèse.
C'est un peu compliqué à expliquer car assez abstrait dit comme ça, mais dans un écoulement donné, on peut linéariser les équations ( les transformer en somme ) autour de cet écoulement de référence. On obtient un opérateur, et on regarde si les valeurs de celui ci on une partie réelle positive ou pas. Si il y'a une partie réelle positive, cela signifie qu'il y'a ce qu'on appel "un mode normal instable ". L'instabilité de l'écoulement qui lui est associé est dite modale.
Si on prend l'exemple connu d'un vent zonal cisaillé : u= U(y) ~ex on peut montrer que pour avoir une instabilité modale il faut que l'écoulement possède un point d'inflexion. On appel ça le critère de Rayleigh au passage.
C'est une approche pour prévoir la croissance et la structure des perturbations cycloniques ainsi que les problèmes de prévisibilité associés.
C'est un peu compliqué à expliquer car assez abstrait dit comme ça, mais dans un écoulement donné, on peut linéariser les équations ( les transformer en somme ) autour de cet écoulement de référence. On obtient un opérateur, et on regarde si les valeurs de celui ci on une partie réelle positive ou pas. Si il y'a une partie réelle positive, cela signifie qu'il y'a ce qu'on appel "un mode normal instable ". L'instabilité de l'écoulement qui lui est associé est dite modale.
Si on prend l'exemple connu d'un vent zonal cisaillé : u= U(y) ~ex on peut montrer que pour avoir une instabilité modale il faut que l'écoulement possède un point d'inflexion. On appel ça le critère de Rayleigh au passage.
C'est une approche pour prévoir la croissance et la structure des perturbations cycloniques ainsi que les problèmes de prévisibilité associés.